| Une importante étude canado-américaine, à laquelle a participé Marc Amyot de l'Université de Montréal, indique qu'une diminution même légère du taux de mercure dans l'air s'accompagnerait d'une réduction significative de ce polluant dans la chair des poissons au bout de trois ans.  Cet article vous est proposé par Certi'Ferme 
								
																	
								
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