| Placez côte à côte sur un banc, dans un cimetière, un vieux garçon séduisant et  une jeune veuve terne. Elle est bibliothécaire et ne pense que culture, il est  agriculteur et n’imagine pas qu’on puisse lire « de son plein gré ». Avec ces  ingrédients, Katarina Mazetti a conquis les lecteurs suédois qui se sont arraché  "Le Mec de la tombe d’à côté". Il est vrai qu’un coup de foudre parmi les  tombes, à l’heure où l’horloge biologique de Madame sonne l’alarme, ne manque  pas de ressorts comiques. Mais ce roman d’un amour hors norme fait aussi la  démonstration qu’on ne s’affranchit pas sans douleurs de sa classe sociale :  lorsqu’il s’agit de choisir entre opéra et traite des vaches, la passion est  requise. Et c’est un minimum. - J'attends avec impatience la suite : Le Caveau de famille . 
								
																			
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